Je pense que la clé, c'est de ne rien forcer, c'est d'accepter quand il y a moins de business, c'est de respecter les gens et c'est peut-être de réduire les dépenses quand on a moins de revenus, justement pour éviter de mettre les gens sous pression pour provoquer des mouvements immobiliers qui ne devraient pas avoir lieu.
J'ai des vendeurs avec qui je travaille présentement, et j'ai l'impression que quand ils ont décidé de vendre, c'était peut-être parce qu'ils étaient insécures ou ils se sont rendu compte que ce n'était peut-être pas la meilleure décision.
C'est sûr que c'est un beau domaine, c'est sûr que ce sont des commissions qui sont quand même intéressantes, mais on a beaucoup de dépenses à mettre dans l'équation quand même. Je pense que la clé, c'est vraiment de respecter les gens, de bien comprendre leurs besoins et de s'assurer que les décisions qu'ils prennent sont toujours dans le but d'améliorer leur qualité de vie ou de gérer des épisodes plus dramatiques.
Si quelqu'un n'a plus les moyens de payer sa maison, je comprends qu'il faille la vendre rapidement. Mais si on s'assure de respecter le budget des gens dès le départ et qu'ils ont une bonne éducation financière, une éducation à la consommation, de ne pas acheter n'importe quoi, et de ne pas se retrouver avec un budget qui ne permet plus de payer leur maison, je pense que c'est quand même un pas pire insight pour les gens en général.
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